PERSONNAGES CONCERNES
Au moins 23 ascendants sont concernés par ce lieu :
Raymond SALZE (N°2-G2) : s’y est marié religieusement (02/1933)
Odette LETORTU (N°3-G2) : y est née (02/1908) et a vécu chez ses parents jusqu’à son mariage
Martial LETORTU (N°6-G3) : y est né (07/1872) à Rainette, s’y est marié (05/1897) y a vécu (quartiers « Gaspré » puis Pré neuf), y est mort (06/1936), est enterré au cimetière.
Camille FAUVEL (N°7-G3) : s’y est mariée, y a vécu, est morte (08/1965) ailleurs (Paramé) mais y est enterrée avec son mari (et 4 enfants).
Armand-Ferdinand LETORTU (N°12-G4) : y est né (06/1841), y a vécu (à Rainette de 1870 à 1885) y est décédé (01/1915), y est enterré ;
Armande LETORTU (N°13-G4) : y a vécu avec son mari, y est décédée (05/1915), y est enterrée ;
François Jean MOREL (N°20-G5) ; y a vécu après le décès de sa 1° femme (1854), y est décédé (06/1887) au quartier La Fosse ;
Jean-Gabriel LETORTU (N°24-G5) : y a vécu probablement à partir de 1841 (naissance de son fils) voire avant (mais sa fille est née en 1839 à Flers), y est décédé (05/1883) à Rainette ;
Anne-Marie RABACHE (N°25-G5) : y a probablement vécu avec son mari, y est décédée (09/1863) ;
Marie Victoire HALBOUT (N°27-G5) : vit en 1869 à Flers, a probablement suivi sa fille après son mariage (1869), y est décédée (07/1870) ;
Anne Marguerite DUVAL (N°49 et 53-G6) y est née (07/1777).
Charles François DUVAL (N°98 et 106-G7) et Marie-Madeleine VENTE (N°99 et 107-G7) y sont nés (respectivement 08/1737 et 11/1752), s’y sont mariés (07/1771).
Georges DUVAL (N° 196&212-G8) y est probablement né, y a été baptisé (08/1703) et y est décédé (04/1781). Son épouse Françoise DESRAMÉ (N°197&213-G8) y a été inhumée (07/1743).
Pierre VENTE (N° 198&214-G8) et son épouse Marguerite VENTE (N°199&215) y ont été baptisés (respectivement 02/1729 et 02/1725), s’y sont mariés (02/1749), y sont décédés (respectivement 10/1791 et 05/1805).
Jean VENTE (N°396&428-G9) et son épouse Madeleine LEPAGE (N°397&429-G9) s’y sont mariés (05/1724) et y sont décédés (respectivement 09/1777 et 03/1760).
Thomas VENTE (N°398&430-G9) et son épouse Jeanne SOREL (N°399&431-G9) s’y sont mariés (02/1719). Elle y est décédée (03/1779).
INFORMATIONS SUR LE LIEU
Commune dont l’existence est attestée dès les invasions normandes du XI° siècle et don le nom, à l’origine incertaine (peut-être 2 villages à l’origine, St Georges et un autre qui tire son nom du mot gravier pour désigner un terrain caillouteux et pauvre), a varié pour se fixer définitivement en 1869 dans les actes municipaux.
Comptant environ 600 habitants avant la révolution, elle s’accroît nettement à partir des années 1830 avec l’accroissement de la ville voisine de Flers et de l’industrie textile régionale qui voit l’implantation aussi bien d’usines que d’habitations destinées aux ouvriers. Parmi les sociétés, signalons en 1852 celle de teinturerie et tissage fondée par Julien Diot et Victor Noury (tous 2 parents d’Aimée Diot) et, des années 1880 au début des années 1970, une société d’eau-de-vie fondée par Benjamin Fauvel qui sera reprise par son gendre Martial Letortu puis ses fils, produisant en particulier un calvados renommé jusque sur les paquebots transatlantiques Normandie et Queen Mary.
La commune est occupée par les Allemands durant la 2nde Guerre mondiale, jusqu’à sa libération les 16-17 août 1944. Mais cette occupation n’a pas empêché plusieurs mouvements de résistance (notamment dans les établissements du Pré-Neuf, à l’instigation de la famille Letortu).
Après la seconde guerre mondiale, l’implantation d’industries entraîne un accroissement significatif de la population.
En 1994, la commune s’intègre avec d’autres au sein d’une communauté de communes du pays de Flers.
L’église actuelle est la dernière de 3 églises qui se sont succédées en 75 ans. Parmi ses vitraux, la rosace a été offerte par la famille de Martial Letortu.
EN SAVOIR PLUS
– Lien internet de la commune : St Georges
– Lien wikipédia de la commune : St Georges
– Bibliographie : Saint-Georges-des-Groseillers, de la commune à l’intercommunalité (1790-1994) (N°1 et 2/2011 de la revue trimestrielle du Pays Bas – Normand)
