SALZE Albert (N°8-G4) – Compléments

Cet article est complémentaire de l’article initial. Par ailleurs, D’autres photos d’Albert Salze sont consultables ici

1 - COMPLEMENTS GÉNÉALOGIQUES

Dans son contrat de mariage, il apporte, outre ses effets personnels :
     – une dot de 40.000 Frs reçue de ses parents, 
     – 40.000 Frs estimés sur les parts qu’il détient de la société fondée avec Jules Bolloch le 01 juillet 1880.

 

Il rédige son testament le 31/08/1921. Il lègue tous ses biens à sa femme et demande à sa fille de laisser à son fils le droit d’aînesse pour acquérir ou non la propriété de la Châletière. (Cf résidence). 

Couverture du contrat de mariage entre Albert Salze et Marie Dessaix le 05 novembre 1882
Première page du testament d'Albert Salze rédigé en mars 1922
Première page du testament d'Albert Salze rédigé en mars 1922

2 - COMPLÉMENTS D’APRÈS LIVRET MILITAIRE

Sans objet

3 - COMPLÉMENTS RÉSIDENCES

Vers 1884, sur sa demande, une extension à la maison de la rue de la banque à Flers est ajoutée (cf photo sur article).

Vers 1902, Albert achète une maison dotée d’un vaste parc sur la commune des Tourailles / hameau la chaletière, à une dizaine de km de Flers. Cette maison est léguée à Yvonne Salze, soeur de Gaston, et reste dans la famille Duguey jusque dans les années 1970. 

Maison Salze dans la commune des Tourailles, hameau La Chaletière, vers 1920
Albert Salze et son fils Gaston
Maison Salze dans la commune des Tourailles, hameau La Chaletière en 2020
En 2020

4 - COMPLÉMENTS PROFESSIONNELS

Albert Salze fait ses études au collège Blondel de Flers.


En 1864 il obtient 2 baccalauréats, l’un en sciences l’autre en lettres.

diplôme du baccalauréat lettre d'Albert Salze en 1864
1864

6 - COMPLÉMENTS DIVERS

En 1867 Albert SALZE est membre de la fanfare de Flers. Il était un pianiste reconnu localement. Son goût pour la musique se concrétise par la possession de nombreuses partitions originales d’œuvres pour piano et par la création (19/03/1896) et le soutien financier de l’ensemble musical « Harmonie Sainte-Cécile » de Flers. Il en est le premier président en 1896.
Il était également un passionné de billard français et détenait plusieurs ouvrages sur le sujet dont certains qu’il avait fait relier.

Il soutien financièrement la création de la société hippique de Flers en 1879.

En mai 1898  il est victime d’un acte de vandalisme, sa chienne ayant été retrouvée gravement blessée par un tesson de bouteille, probablement l’œuvre d’un rodeur qui voulait s’en prendre à ses poules.

En janvier 1901 il est admis au sein de l’association des comptables et employés de commerce de Flers

Le 27/10/1908, avec Paul Migout son beau-frère (leurs femmes sont soeurs), il mandate Louis Boiron pour procéder à l’acquisition à perpétuité du terrain (carré C) du cimetière de Bénévent sur lequel est érigé le caveau de la famille Joseph Dessaix fils ainé par acte en date du 15/12/1880.

Lors des PV des séances du conseil général de l’Orne de 1907, il est identifié comme membre du jury spécial appelé, le cas échéant, à régler les indemnités dues par suite d’expropriation pour cause d’utilité publique pendant l’année 1907-1908 de l’arrondissement de Domfront, canton de Flers (avec François-Constant Morel). Il est également titulaire de cette fonction pour l’année 1910-1911 (avec François-Constant Morel et Armand-Ferdinand Letortu, frère de Martial). 

Le 28/09/1917, il fait partie des propriétaires désignés par le conseil municipal de Flers comme arbitres compétents en matière de résiliation des baux ruraux.

Le 07/09/1909, il est mentionné (sans sa femme) sur le journal artistique et littéraire « Royat-Mondain » sur la liste officielle des étrangers, comme étant descendu le 05 septembre à l’hôtel de France. (Est-ce en rapport avec l’harmonie Sainte-Cécile de Flers ?).

En 1886, les domestiques cités dans la famille d’Albert Salze sont Eloïse Lacour et Rose Launay.
En 1901, les domestiques cités dans la famille d’Albert Salze sont François et Adolphine Marque, et Maria Denis.
En 1911, les domestiques cités dans la famille d’Albert Salze sont Joseph et Augustine Aubin, ainsi que Eléonore Elie.
En 1921, les domestiques cités dans la famille d’Albert Salze sont Louis Avel, valet de chambre et Prudence Coisnou, cuisinière.

Par ailleurs, la famille semble avoir employé une nourrice pour Yvonne Salze, Marie « Verdes ». 

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